le week end est déplacé aux
19 et 20 novembre 2011
heures et lieu habituels :
11 rue du Bosquet, rez de chaussée;
samedi 9 h hommes
samedi 14 h femmes
dimanche 9 h tout le choeur mixte
A s s o c i a t i o n c o m p o s é e d e 3 f o r m a t i o n s :
choeur mixte "JUBILATE"
choeur d'hommes "Camalie Voce"
choeur de dames "CantaDona"
siège social : 11 rue des Saulées 63400 CHAMALIERES
« Jamais peut-être faire chanter les choses n'a été plus urgente et noble mission à l'homme » (Louis Aragon)
Héliotrope n'est pas qu'une boraginacée originaire d'Amérique du Sud
et qui produit en été une profusion d'inflorescence bleue, c'est aussi...
(cliquez et patientez 15 secondes pendant le chargement)
1- HELIOTROPE Février 2007
2- HELIOTROPE Mars 2007
3- HELIOTROPE Avril 2007
le week end est déplacé aux
19 et 20 novembre 2011
heures et lieu habituels :
11 rue du Bosquet, rez de chaussée;
samedi 9 h hommes
samedi 14 h femmes
dimanche 9 h tout le choeur mixte
Connaissez-vous, à RIOM,
le magasin et l'atelier de Dominique Gardelle
http://www.box.net/shared/ygre90pysesmic7hjtoh
une visite est toujours possible
oOo oOo oOo oOo oOo oOo oOo oOo
quant au musée du piano,
il se trouve à LIMOUX :
http://www.limoux.fr/fr/mpg4-270319--Eglise-St-Jacques-et-Musee-du-Piano.html
voir également :
aucune répétition lundi 31 octobre 2011
le rendez-vous est à 14 h 30 en l'Eglise du Marthuret, rue du Commerce;
le concert est à 17 h;
De style gothique languedocien, l’église du Marthuret a été édifiée à partir de 1308, puis remaniée et agrandie au 19ème siècle.
Son portail néo-gothique abrite une copie de la Vierge à l’Oiseau dont l’original est conservé dans la chapelle Saint-Jacques autrefois indépendante, construite par la corporation des tanneurs. Elle fut sauvée des destructions révolutionnaires par les bouchers de Riom.
Son vitrail datant de 1538, avec la Vierge entre saint Jacques et saint Jean l’Evangéliste, fait partie des richesses patrimoniales de Riom
sur l'origine du mot marthuret , lire page 229 : http://books.google.fr/books?id=2CR2znJOJvAC&pg=PA229&lpg=PA229&dq=etymologie+du+mot+marthuret+martres&source=bl&ots=mVdmpULvUg&sig=_s3IfnyxNTVyqQt_hfvpFnATav8&hl=fr&ei=0nqiTqiQE8KCOoiF1JgC&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=5&ved=0CD4Q6AEwBA#v=onepage&q&f=false
ainsi que : http://www.toponymieperigord.com/article-14360265.html
la répétition du 24 octobre est maintenue,
nonobstant les vacances scolaires,
pour les 2 choeurs.
identique au concert donné le 21 mai à Chamalières :
LAUDATE DOMINUM Perosi
CONFITEMINI DOMINO Alessandro Costantini
IN NOTTE PLACIDA,
CHRISTO RESURGENTI
JUBILEMUS EXULTEMUS François Couperin, dit «le Grand»
ECCO IL MESSIA anonyme italien, du 16éme siècle
REGINA COELI Charles Gounod
PATER NOSTER Lionel David,
Benedetto Giacomo Marcello, né le 31 juillet ou le 1er août 1686 à Venise et mort le 24 juillet 1739 à Brescia, est un compositeur italien de la période baroque.
Issu d'une noble famille vénitienne (il est souvent qualifié dans ses œuvres de Patrizio Veneto) il était destiné par son père à une carrière de juriste, bien qu'il ait reçu des leçons de musique de maîtres aussi réputés que Lotti et Gasparini. En 1711, il devient membre du Conseil des Quarante et en 1730, il est envoyé à Pola comme Provveditore. Sa santé s'étant détériorée au climat défavorable de l'Istrie, il démissionne au bout de huit ans et s'installe en tant que Camerlengo à Brescia, où il demeure jusqu'à sa mort.
Benedetto Marcello est surtout connu pour son Estro poetico-armonico, publié à Venise en 1724-1727, qui est une mise en musique pour voix et basse continue des cinquante premiers psaumes, dont les paroles avaient été adaptées en italien par Giacomo Giustiniani.
Parmi ses autres œuvres, on trouve surtout des cantates à une ou plusieurs voix ; la bibliothèque du Conservatoire de Bruxelles possède plusieurs volumes de cantates de chambre composées pour sa maîtresse. Il composa aussi un opéra, La Fede riconosciuta, représenté à Vicenza en 1702, mais n'avait guère d'attirance pour ce genre de composition et exposa ses opinions sur l'état du drame en musique à son époque par un pamphlet satirique intitulé Teatro alla moda, paru à titre anonyme à Venise en 1720 et dont la cible principale était Antonio Vivaldi, sous le pseudonyme peu équivoque d'Aldiviva. Ce petit ouvrage, fréquemment réédité, n'est pas seulement extrêmement drôle, mais constitue aussi une contribution importante à l'histoire de l'opéra.
On a donné son nom au conservatoire de musique de Venise. Il fut surnommé le "Pindare entre les compositeurs", le "Michel Ange de la musique", le "Prince de l'Art"...
Le Musée national des instruments de musique de Rome possède un certain nombre d'instruments lui ayant appartenu.
Le frère aîné de Benedetto, Alessandro, fut lui aussi compositeur.